Personnage :
Neranos Harias.
Humain / Mort-Vivant.
47 ans.
Marié à sa lame.
Prologue:
Alors que la nuit venait de tomber sur tout le continent d’Arthor, et que les étoiles scintillaient tel milles diamants offert à la plus ravissante des princesses, un jeune homme de grande taille quittait son campement en bordure d’une immense forêt. Il portait une légère cotte de maille, sur laquelle était posée une cape blanche. Une épée dont le bout de la lame pointait vers le bas était cousu sur la cape. Un glaive sertit de pierre précieuse reposait contre sa hanche. L’homme ne portait point de casque, laissant ainsi ces longs cheveux de jais flottés sur ces larges épaules. Il pénétra à l’intérieur du bois, marchant d’un pas lent, nullement pressé, admirant la merveilleuse mais étrange forêt. Elle était ancienne, cela se voyait aisément. Les arbres étaient courbés, entrelacés les uns à travers les autres. Ils semblaient menaçant, presque vivants. Pourtant, le jeune homme n’était guère impressionné par l’aspect sinistre des arbres qui l’entouraient. Une douce brise venait lui caresser le visage aux traits durs, marqués par les guerres et les batailles. Il marchait à travers un sombre sentier étroit, les arbres voutés formant un toit qui obstruait la lumière de la pleine lune. Le jeune homme marcha longtemps, pendant pratiquement trois heures, serein et calme. Enfin il parvint au bout du sentier sinueux, pour aboutir aux abords d’un étang aux eaux noires. L’homme en haubert se pencha au dessus des eaux et attendit. L’étang, après quelque temps, se mit à changer de couleur, jusqu’à devenir finalement un parfait miroir qui reflétait le charismatique jeune homme. Mais les eaux formèrent ensuite des centaines de visage, tristes et malheureux. L’homme les connaissait bien, ces figures qui le regardaient d’un air suppliant. Dans chacun de leurs visages, il pouvait lire la même phrase :
<<-Je suis mort pas ta faute… Tu dois me délivrer… Nous délivrer! … Par ta faute… Oui…- >>
Le jeune homme ne se laissa aucunement perturbé par l’étang, et murmura quelques paroles sincères à l’adresse des gens qui le fixaient de leurs yeux vitreux et hagards :
<< -Je suis sincèrement désolé, mais il le fallait. Papa… Maman… Vlamer et Rakar, je n’avais pas le choix. Je suis l’Élu, l’Intermédiaire. Je ne pouvais faire autrement. Je vous aime.. >>
Le jeune homme ne se laissa aucunement perturbé par l’étang, et murmura quelques paroles sincères à l’adresse des gens qui le fixaient de leurs yeux vitreux et hagards.
L’homme se retourna brusquement, et se refit le chemin inverse, l’air déterminé et farouche. Il avait une ville à assiéger, puis à conquérir.
Pendant la conquête de cette ville... Un terrifiant homme sur un destrier pâle et froid comme la glace lui murmura des mots en une langue inconnue au jeune homme.. Ces mots le poursuivît pendant toute la bataille contre une poignée de gardes qu’il éviscéra de sa propre lame… Mais il resta toujours l’homme terrifiant sur son destrier en se tenant très calme derrière son heaume glacial…
Sans que le jeune Neranos se rende compte… Le chevalier glacial lui avait déjà transpercer le torse en emportant son cœur au bout de sa lame tout en laissant une sorte d’esprit de glace dans le corp de ce jeune héraut.
Le jeune Neranos fût vaincu et prêt à mourir quand son corps tomba au sol… Ses os ressortaient de plus en plus…
Ses organes tombaient bout à bout… Jours après jours… Jusqu’au jours où il devint...
Un terrible mort-vivant avec une lueur de glace au bout de ses yeux… Surnommé le " Chevalier Noir"
Neranos Harias.
Humain / Mort-Vivant.
47 ans.
Marié à sa lame.
Prologue:
Alors que la nuit venait de tomber sur tout le continent d’Arthor, et que les étoiles scintillaient tel milles diamants offert à la plus ravissante des princesses, un jeune homme de grande taille quittait son campement en bordure d’une immense forêt. Il portait une légère cotte de maille, sur laquelle était posée une cape blanche. Une épée dont le bout de la lame pointait vers le bas était cousu sur la cape. Un glaive sertit de pierre précieuse reposait contre sa hanche. L’homme ne portait point de casque, laissant ainsi ces longs cheveux de jais flottés sur ces larges épaules. Il pénétra à l’intérieur du bois, marchant d’un pas lent, nullement pressé, admirant la merveilleuse mais étrange forêt. Elle était ancienne, cela se voyait aisément. Les arbres étaient courbés, entrelacés les uns à travers les autres. Ils semblaient menaçant, presque vivants. Pourtant, le jeune homme n’était guère impressionné par l’aspect sinistre des arbres qui l’entouraient. Une douce brise venait lui caresser le visage aux traits durs, marqués par les guerres et les batailles. Il marchait à travers un sombre sentier étroit, les arbres voutés formant un toit qui obstruait la lumière de la pleine lune. Le jeune homme marcha longtemps, pendant pratiquement trois heures, serein et calme. Enfin il parvint au bout du sentier sinueux, pour aboutir aux abords d’un étang aux eaux noires. L’homme en haubert se pencha au dessus des eaux et attendit. L’étang, après quelque temps, se mit à changer de couleur, jusqu’à devenir finalement un parfait miroir qui reflétait le charismatique jeune homme. Mais les eaux formèrent ensuite des centaines de visage, tristes et malheureux. L’homme les connaissait bien, ces figures qui le regardaient d’un air suppliant. Dans chacun de leurs visages, il pouvait lire la même phrase :
<<-Je suis mort pas ta faute… Tu dois me délivrer… Nous délivrer! … Par ta faute… Oui…- >>
Le jeune homme ne se laissa aucunement perturbé par l’étang, et murmura quelques paroles sincères à l’adresse des gens qui le fixaient de leurs yeux vitreux et hagards :
<< -Je suis sincèrement désolé, mais il le fallait. Papa… Maman… Vlamer et Rakar, je n’avais pas le choix. Je suis l’Élu, l’Intermédiaire. Je ne pouvais faire autrement. Je vous aime.. >>
Le jeune homme ne se laissa aucunement perturbé par l’étang, et murmura quelques paroles sincères à l’adresse des gens qui le fixaient de leurs yeux vitreux et hagards.
L’homme se retourna brusquement, et se refit le chemin inverse, l’air déterminé et farouche. Il avait une ville à assiéger, puis à conquérir.
Pendant la conquête de cette ville... Un terrifiant homme sur un destrier pâle et froid comme la glace lui murmura des mots en une langue inconnue au jeune homme.. Ces mots le poursuivît pendant toute la bataille contre une poignée de gardes qu’il éviscéra de sa propre lame… Mais il resta toujours l’homme terrifiant sur son destrier en se tenant très calme derrière son heaume glacial…
Sans que le jeune Neranos se rende compte… Le chevalier glacial lui avait déjà transpercer le torse en emportant son cœur au bout de sa lame tout en laissant une sorte d’esprit de glace dans le corp de ce jeune héraut.
Le jeune Neranos fût vaincu et prêt à mourir quand son corps tomba au sol… Ses os ressortaient de plus en plus…
Ses organes tombaient bout à bout… Jours après jours… Jusqu’au jours où il devint...
Un terrible mort-vivant avec une lueur de glace au bout de ses yeux… Surnommé le " Chevalier Noir"