Naolia: Reflet Premier.
Prologue:
Revenue à Lune d'argent dans leurs maison les deux soeurs se mirent à réfléchir.
Naolia trouva la première une idée. Elwena intriguer la regarda dans les yeux buvant ces paroles folles de son plan. Naolia avait décider de s'entrainer avec un maitre. Ne sachant pas encore le quel elle fit le tour de la ville à la recherche d'un maitre mais, en vain elle retourna voir sa soeur qui était déjà coucher. La nuit tombant doucement sur la Belle ville de Lune d'Argent Naolia se préparait déjà à partir sans sa soeur.
Le lendemain à l'aube La petite Elwena se leva et cherchant sa soeur des yeux se mit à sa recherche dans toute la ville. Disparue... Un seul papier écrit de façon rapide sur la table indiquait alors sa première positions. " Je suis partie pour les terres du Sud des Royaumes de l'Est. Ne viens pas me chercher...".
La petite Elwena alors troublé est choquer se mis alors à imagniner un plan elle aussi mais, ceci est une autre histoire....
Chapitre premier: Le reflet d'une jeunesse.
Plus d'un an avait passé depuis la dernière fois qu'elle était venu dans les terres du sud des royaumes de l'est. Naolia avait gagné en maturité et en adresse. Ses origines l'avaient rejoins depuis un moment et elle avait commencé à comprendre les idéalogies et pratique de son père décédé. Le surnom de celui-ci laissait frissoner les nouveaux fermiers qui en avaient ouïe les épouvantables réçits. Le loup d'Hurlevent avait été une malédiction certaine pour Elwynn et la marche de l'ouest et la justice avait eu raison de lui. La lecture du journal de la mère de Naolia l'avait troublée à un haut degré. Elle avait fuit la civilisation et fait plusieurs rencontres pour en arriver à se faire à l'idée que sa jeunesse ne fut que mensonge et divergence.. Elle s'était resaisit grace à l'aide d'un homme de Lune-d'Argent qui avait su comprendre sa malédiction et à l'aider. Les circonstances troublantes des choses l'avaient poussée à rejoindre la terre d'Arugal. Arugal était par le passé un des membre du Kirin Tor de Dalaran. C’était un piètre lanceur de sorts, et il n’arrivait pas à la cheville des plus puissants membres du Kirin TorLorsque Dalaran fut détruite par le Fléau, Arugal était l'un des survivants qui se battaient toujours contre les morts-vivants et les démons. Mais chaque magicien mort dans la bataille se relevait, ajoutant son ancienne force au Fléau croissant. Arugal parvint à survivre mais fut rongé par la folie. Grâce aux écrits du livre d'Ur, et à des reliques magiques dont il se servait pour renforcer ses faibles pouvoirs, Arugal invoqua les Worgens et, selon les rumeurs, les traitaient aujourd’hui comme ses propres enfants et qu'il avait pris sa "retraite" à l’ancienne demeure du Baron d'Argelaine, renommée Donjon D'Ombrecroc. Il résidait toujours là, protégé par son animal de compagnie massif, Fenrus, et hanté par les fantômes vindicatifs du Baron d'Argelaine et de ses suivants. On disait également qu'il serait la cause de la malédiction qui s'était abattue sur Bois-du-bûcher, qui transformait les habitants en worgens une fois la nuit tombée. Naolia avait ouïe de ces dires et chassée par sa différance de certains lieux, elle quita les terres étrangères qu'étaient celles des bois-du-chant-éternelle pour se diriger vers la forêt des pins Argentés. Sur son chemin, elle tomba sur une fillette Sin'dorei qui semblait être égaré et confuse. Sentant une certaine envie de gouter la chaire fraîche de cette jeune elfe, elle voulu s'amuser quelque peu avec celle-ci.. commençant par un dialogue des plus sinistres. Mais, aux premières parôles de l'elfette, Naolia revit son enfance et son abandon dans les yeux perlés de larmes de la petite. Elle accepta, contre son gré, de prendre la petite avec elle, qui semblait épuisé et affollée d'être dans ce lieux maudit qu'était la clairière de Trisifal. La lycan amena la petite jusqu'à shattrat, le voyage fût des plus long et des moins évidents, mais ils y parvenurent.
Shattrat... Avant d'être dirigée par les Sha'tar, la ville fut la capitale des Draeneï, cependant, la Légion Ardente la détruisit. Les Sha'tar furent attirés par ces ruines et trouvèrent un petit groupe de Draeneï survivants qui continuaient a prier dans cette ville en ruine, ils n'étaient autre que les membres de l'Aldor. Ces derniers rebâtirent la ville qui fut à nouveau assaillie, cependant l'ennemi n'était pas le même. Illidan avait ordonné à son second, Kael'thas d'attaquer la ville, ce dernier envoya un de ses bataillon dirigé par Voren'thal. Quand le bataillon d'elfes de sang traversa le pont, les exarques et redresseurs de torts de l'Aldor prirent position pour défendre la Terrasse de la Lumière. C'est alors que l'inattendu arriva : les elfes de sang déposèrent leurs armes devant les défenseurs de la ville.Voren'thal demanda à parler à A'dal, « À l'approche du naaru, Voren'thal s'agenouilla devant lui et prononça ces paroles : « Je vous ai vu en rêve, naaru. L'unique espoir de survie de mon peuple est en vous. Mes fidèles et moi-même sommes venus pour vous servir ». La défection de Voren'thal et de ses fidèles fut la plus grande perte jamais subie par les forces de Kael'thas. Et il ne s'agissait pas là de n'importe quels elfes de sang. Nombre des plus brillants érudits et magistères de Kael'thas avaient suivis l'influence de Voren'thal. Les naaru accueillirent les renégats, qui prirent le nom de Clairvoyants. Cette citée abritait toute sorte de réfugié, qu'ils soyaient Orc, humain, sin'dorei, kal'dorei ou peut importe.. Les Sha'tars les acceptaient tous. Cette citée était d'avantage un sanctuère qu'une capitale. Naolia et la petite protégée mirent pied en ville. Peu après leur arrivé, Lyn ne tarda pas à tester les capacitée de la petite, qui ne lui était pas réellement chère à ses yeux, mise à part la faible pitié qu'elle éprouvait pour celle-ci. Une tâche des plus gênantes attendait la petite. Voler une bourse à un étranger dans une taverne bruyante et remplis d'îvrognes aggressif. Après de longues minutes, les attentes innattendues revinrent à l'hybride les mains remplis d'une bourse. Étonnée et surprise, Naolia entraina la petite hors de la portée de la taverne, prennant soin que la bourse ne soit pas dévoilée. Elle entraina la petite dans une salle où se trouvait plusieurs portails. Elle offrit le choix à la petite de retrouver sa vie normale à Lune-d'Argent en passant un premier portail ou de la suivre vers une vie d'aventure ou la survie va souvent à l'encontre de l'éthique habituelle. La petite, légèrement confuse, eu décidé de suivre cette Elfe. La petite Anatsuky ignorait le nom de cette dame qui l'avait receuillit, mais le destin semblait les avoir lié indirectement pour une raison que seules les étoiles pourront dévoiler aux dieux. D'une parôle timide et tremblante, elle eu acceptée de la suivre. Tout deux franchir une sphère bleuté qui les porta jusqu'à Orgrimmar. Une courte randonnée à travers les ruelles connus de la Lycan les menèrent à la sortie de la ville, d'où elles prirent un appareil aussi étrange qu'éfficace, qui les porta de Kalimdor jusqu'au Sud du continent de l'est lointain. De longues journées à survoler l'océan permirent à la fillette et à l'elfe de lié des liens. Elles arrivèrent par la suite à Grom'gol, un village d'Orc fièrement installé dans la jungle de Stanglehorn Vale. Ils avaient eu de difficiles épisodes, mais le campement avait su tenir solidement au travers des invasions de la légions de l'année dernière. À cet endroit, Naolia, quelque peu débousollée de l'humeur de la petite, entreprit une longue expédition de retour jusqu'à Lune-d'Argent, afin de quérir un être de fer qui s'était lié d'amitié avec la petite ou du moin, l'inverse! Les pavés propres et scintillant de cette cité, les remparts ornée, les longs tapis et tablar de la citée de Lune-d'Argent avaient toujours émerveillé Naolia, depuis la première fois qu'elle eu vu une telle beauté architecturale. Elle trouva l'être de fer à la fontaine, près de la fléche des solfuries. Sa quête lui avait semblé beaucoups plus compliqué, mais l'ironie de cette histoire tomba dans ses faveurs, sembla-t'il. L'individu de métal parru plus docile lorsque l'Elfe lui prononça le nom d'Anatsuky, ce qui lui rappela la petite elfette après un scan de ses données. Le voyage de retour ne fut pas des plus plaisants, dû à une température très variable et à de fort vent qui les avaient poussés à se rallonger quelque peu..
Chapitre second: L'éveil du Loup.
De retour sur la berge de Stranglehorn, une personne était des plus heureuse de revoir son copain robotique et sa nouvelle amie. Naolia apprit à la petite quelques frappes de précision et s'entrainant sur le gnome de métal, qui était de la même hauteur que la petite jusqu'à tard dans la même soirée. Épuisée, la petite eu vite fait d'abandonner après un très gros effort. C'est blotie dans les bras de Naolia qu'elle s'endormit, insouciante du lendemain, sombrant dans les chimères de la rêverie..
Connaissant la forêt dû à une longue période de sa jeunesse à avoir vécu dans celle-ci, Naolia connaissait bien cette partie du continent et se redirigea à une vitesse concidérable vers le nord. Quelques heures passèrent et Naolia arriva à la Pénombre, là où la nostagie de ses lectures éffaça son sourire habituel. Se mémorant les dires de sa mère sur ces lieux, sur le campement caché dans les montagnes de son père, sur ceux qui eurent tué son père et sur ce que son père fesait et pourquoi.. elle n'avait plus toute sa tête. Ses iris étroits et jaunâtre scintillaient dans l'obscurité de la forêt, lui rappelant, à chaque fois qu'elle voyait son reflet dans les petits trou d'eau sur le sol imbibés de la pluie précédante, sa malédiction.Enragé, elle s'enfonça dans les bois, retrouvant des habitudes animals qu'elle avait surtout lorsque la pleine lune se remplissait dangereusement, laissant la Lycan dans un état de furie lorsqu'elle était pleine. Une fermette attira dangereusement l'attention de l'elfe, cherchant à combler son désir rageux de souffrance. Quelques défias étaient regroupé à la fermette et deux ou trois sentinelles éparpillés surveillaient les champs. Profitant de son adresse bestiale et ses capacités à se morphondre dans l'ombre, l'Hybride eu vite fait de neutraliser l'une de ces sentinelles, mal entrainé, vu la réaction tardive de sa victime, à présent assomée. Subtilisant le corps de l'humaine, l'elfe fuit dans la noirceur de la forêt..
Les criquets et les grillons chantaient dans la sombre forêt de la pénombre. Une ombre se déplacait agilement d'arbre en arbre. Les chauves-souris voltigaient de part et d'autre dans l'obscure forêt. Les arbres à l'écorce des plus foncés laissaient un semblant d'hantise des plus effroyable à ce lieux terrifiant. Les fermettes abandonnés étaient à présent habité par des morts-vivants, des brigands n'ayant pas froid aux yeux ou par des worgens...Une race de féroces bêtes louves dont le seul nom suffit à provoquer des frissons. De nombreuses théories circulaient sur leur histoire, mais leurs origines restaient des plus mystèrieuse. Des rumeurs voulaient qu'ils ne soient qu'une apparition magique d'un autre univers.. d'autre d'une malédiction.. Quoi qu'il en soit.. Les veilleurs, eux, demeuraient sous un stress continue, tentant de conserver un minimum de calme dans cette région maudite et délaissée de sa mère capitale. Le nouveau régime n'aidait pas les villages des alentours d'une aide précieuse. Peu de gens savaient ce qui se passait au plus creux de l'obscurité de cette forêt...
Un cri perça le calme de cette forêt, laissant la chaire de poule aux veilleurs qui gardaient la route sans grand courrage..
La femme humaine qui venait de se réveiller, attachée à un arbre solidement au ventre, aux jambes et à la poitrine, frôlait la follie. Elle respirait terriblement vite et suait de peur. Une voix pénétrante la fit hurler de nouveau, cherchant d'où venait cette voix chantante des plus sinistres. Le scintillement d'une lame vint à attirer l'attention de l'humaine, paniquée. Une petite table faite de morceau de charette détruite se trouvait près d'elle. Sur celle-ci, l'humain pouvait y voir du sel dans un sac de blé, deux lames, des pinces et des fioles au contenu verdâtre et de couleur kaki. Les larmes lui montèrent aux yeux. Un tissu vint à lui caresser la joue. Au millieu de se tissu se trouvait une boule de chiffon qui s'insèra maladroitement dans la bouche de l'humaine et qui, par l'autre extrêmité, vint à se reserrer sur l'autre joue pour se nouer derrière sa tête. Les yeux ronds et intérogateur, elle vu une silouhette sombre dans l'ombre du petit campement sans éclairage, si ce n'était que celui de la lune, à quelques jours d'être pleine. L'ombre souleva l'une des lames, prononçant des parôles qui était ignoré par la peur de l'humaine. Naolia fredonna un chant Kal'dorei qu'elle entendait souvent à Reflet-de-lune dans sa jeunesse, alors qu'elle approchait la lame vers le bras de l'humaine. D'un mouvement lent et précis, elle scia le bras de l'humaine au niveau du biceps, laissant le hurlement muet de la femme étouffer son chant. Les tendons déchirant, le muscle cèdant et le sang coulant sur la lame rendaient l'elfe quelque peu affollée elle-même, qui augmentait le rythme de son sciage. Une fois le membre coupé et l'humaine agonisante d'une douleur infâme, près de l'évanouïssement, Naolia prit le sac de sel et versa de son contenu dans un morceau de tissu. Elle prit ce morceau et le colla directement à la plaie, de sorte à ce que le sel stop l'hémoragie pour que l'humaine ne meurt par la perte de son sang. Un hurlement, étrangement plus claire que le précédant, laissa Naolia sourire, intriguée par la douleur que celà devait procurer à l'humaine. La forêt assourdissait suffisament le bruit des hurlements de la femme et l'odeur du sang attirait quelques bêtes curieuses. Naolia prépara un feu, qu'elle alluma pour conserver les bêtes curieuses à l'écart du petit cercle dans la forêt. Bien isolé entre des arbres, Naolia fit cuir le bras de l'humaine, sous le regard dégouté de celle-ci, sanglôtante de toutes ses larmes.. Naolia, après une cuissons adécouate, dévora une partie du bras, déchiquetant la chaire de ses canines prononcés et tordait le bras, pour y faire sortir le sang, qu'elle fesait couler dans un gobelet. Naolia trancha des lambeaux sur le bras et les déposa sur la table, laissant le bras dénudé de chaire et de muscles. L'humaine regardait la scène, tromatisée de ce qu'elle voyait..
L'elfe se releva, s'approchant de l'humaine et lui murmurant les pires douleurs si elle se metait à hurler à nouveau, jurant à l'humaine qu'elle lui réservait des douleurs infâme qu'elle ferait durer le plus longtemps possible, si elle hurlait. Elle prit l'une des fioles qu'elle possèdait et la versa dans le gobelet de sang. Il s'agit d'un poison anestésiant, pour endormir la femme de façon contrôlé. Elle s'approcha de la femme, lui retirant le morceau de tissu qui l'empêchait de parler et la forca à boire son sang mélangé au poison. L'humaine ne se rabaissa pas à en boire le contenu qu'elle cracha sur l'elfe. Impatiente, l'elfe découpa la chemise de la femme au niveau du torse. La femme pleurait, voulant le pardon. L'elfe enfonça le bout de sa lame dans le nombril de la femme, cherchant à trancher le cordon obélicale de la femme et enfoncer de la sorte sa lame sous la chaire, sans déchirer les intestins. La femme hurla, mais l'elfe couvrit la bouche de l'humaine. Après des menaces d'évolution de cette douleur, l'humaine accepta de boire son sang et le poison. La plaie saignait et Naolia dû, après avoir fait boire le tout à l'humaine et lui remettre le morceau de tissu dans la bouge, cicatriser au sel la nouvelle plaie de la femme qui avait perdu beaucoup de sang, à présent. Naolia laissa l'humaine sombrer dans l'inconscience.. reprenant ses affaires et disposant vers la rivière séparant la Pénombre d'Elwynn..
Prologue du chapitre 3:
Une longue absence laissa l'humaine à elle-même, réfléchissant à des méthodes pour s'enfuire. Ses années d'expérience en fourberie l'avait rendu des plus ingénieuses. Elle grattait la corde avec ses ongles lentement, mais surement. Les liens commencèrent à s'affaisser, lorsque des hurlements se firent entendre tout près. Naolia avait omnis de rependre du poison aux alentours pour masquer l'odeur du sang et du corps de la femme. Deux noires silhouettes surgirent des bois, grognant, cherchant à savoir laquelle des deux allaient dévorer la femme. Les yeux rougeâtres des deux loups noirs fessaient hurler muetement la femme qui avait toujours le tissu dans sa bouche. L'une des deux bêtes saisit l'humaine au tibia, la secouant violement. L'autre sauta au niveau du ventre. Elle arracha la peau externe du ventre et une partie du chemisier. Les intestins de la femme s'écroulèrent sous son regard perlé de larme. La douleur la fesait hurler de douleur, lorsque ses cris s'évanouir en même temps que les derniers battement de son coeur. Les deux loups dévorèrent les intestins de la femme et, sous des bruits de pas tout près de là, fuirent aussi rapidement qu'ils étaient arrivé..
Chapitre 3: L'elfe qui murmure à l'oreille des chats.
La marche de l'ouest.. Des anciens vergers verdoyants du royaume de Hurlevent, qui sont aujourd'hui à l'abandon... La Marche de l'Ouest n'était plus aujourd'hui qu'un vaste désert regroupant les vestiges de communautés fermières abandonnées aux brigands et bandits de grands chemins. Les terres n'étaient même plus défendues par les Garnisons de Hurlevent, qui ont déserté lorsque l'entretien des terres était devenu trop lourd, et la contrée a été détruite par la Confrérie Defias, et sa horde de bandits demi-humains tels que les gnolls et les gobelins. Aujourd'hui, les terres étaient occupées par la confrérie et leurs Golems Moissonneurs protecteurs. Personne ne savait ce qu'ils cachaient au plus profond de ce royaume, mais ils ne reculaient devant aucun stratagème pour dissuader les explorateurs aventureux de s'en approcher. Cette région se remettait de certains cris de rage et de haine au Sud, lorsque la jeune Lycanthrope quittait cette région pour traverser sa terre mère qu'était Stranglehorn. Cette elfe élevée par sa demi-famille, les Kal'dorei, s'était accoutumée solidement à Stranglehorn lorsqu'elle eu fuit Reflet-de-lune lors de sa jeunesse. Bondissant d'arbre en arbe avec une agilitée animale, elle traversait la jungle avec facilité. De longues heures à dévaler la forêt, en évitant d'attaquer la faune et les sauvages qui peuplaient la forêt pour ne pas s'attirer d'attention, elle parvint à joindre Grom'gol, là où l'attendait une elfe particulière pour elle. Franchissant les palissades du campement, les gardes reconnaissaient l'elfe qui était de plus-en-plus souvent présente dans cette partie de la forêt. Le ciel lourdement couvert laissa couler une pluie torride sur la région. Allant se couvrir, Naolia retrouva la petite Anatsuky, à qui elle commençait sérieusement à porter attention. Sentant la pleine lune s'approcher, elle se sentait des plus rageuse et à bout de nerf. La petite se tenait devant l'hybride, les mains dans le dos, la tête baissée. Elle parlait d'un air louche à Naolia qui s'inquiétait de plus-en-plus. La petite Sin'dorei dit à Naolia qu'un gobelin l'avait attaqué et blessé. Une sensation de rage, de violence, de haine et de culpabilité envahie la Lycanthrope qui semblait perdre la raison à fur et à mesure que la petite dévoilait les évènements. Elle poussa la petite à lui dévoiler de qui il s'agissait. Les informations de la petite mena l'elfe et la petite à partir en direction de Durotar pour chercher où était ce Gobelin. Un long voyage dérangea l'elfe de plus en plus qu'elles s'approchaient de Durotar. Après des évènements et des questionnements nécessitant précision qui mena Naolia à découvrir que la petite lui avait menti, la Lycanthrope devint immorale. Elle se contrôla du plus fort qu'elle le pu et eu une idée des plus sadique pour faire comprendre à la petite que lui mentir était une grave erreur. Partie à Orgrimmar, elles passèrent par l'orphelinat de la citée chercher les affaires que la petite avait dû laissé lorsqu'elle partie de labà. Le but de ce petit détour était de reprendre le chaton de la petite. Une longue marche dans la citée orque les mena à l'extérieur de la citée, dans une maisonnette abandonnée. Naolia attacha la petite à la cheville et le chaton au cou. Les liens fixés à l'un des pilliers de la maisonnette permis à Naolia de dévoiler le sadisme de sa pensée à la petite. Anatsuky s'était écorchée les avant bras, laissant des griffures et des morceaux de peau retrousser de peu, alors Naolia lui ordonna de trancher chacune des pattes de son chaton adoré. La petite paniqua, jurant, pleurant, chialant.. Naolia gifla celle-ci, ramenant le minimum de lucidité à la petite. Naolia saisit le chat et pointa sa dague au niveau du ventre de celui-ci. La petite s'excusa à mile reprise d'avoir mentie. Naolia monta la dague vis-à-vis la gorge du chaton. La petite pleurait, se cachant les yeux pour ne pas regarder cette scène. La petite dévoila toute l'histoire sans mensonge, mais Naolia tenait le chat, encore rageuse. Un bruit de tranchant fit hurler la petite qui se cachait les yeux. Le chat tomba au sol, laissant la petite pleurer terriblement. Celle-ci ouvrit les yeux au contact du chaton qui se frottait à elle, effrayé de Naolia. La demi-elfe lâcha la corde qui conservait le chat captif et se contenta de fixer la petite pleurer, terrorisée et traumatisée de cette scènette. Naolia trancha les liens de la petite et sortie hors de la fermette, fixant les étoiles, se perdant quelque peu dans les souvenirs de son passé, de ses lectures, de sa jeunesse et de sa sœur. Considéré comme l’unique survivante de sa famille.
Prologue:
Revenue à Lune d'argent dans leurs maison les deux soeurs se mirent à réfléchir.
Naolia trouva la première une idée. Elwena intriguer la regarda dans les yeux buvant ces paroles folles de son plan. Naolia avait décider de s'entrainer avec un maitre. Ne sachant pas encore le quel elle fit le tour de la ville à la recherche d'un maitre mais, en vain elle retourna voir sa soeur qui était déjà coucher. La nuit tombant doucement sur la Belle ville de Lune d'Argent Naolia se préparait déjà à partir sans sa soeur.
Le lendemain à l'aube La petite Elwena se leva et cherchant sa soeur des yeux se mit à sa recherche dans toute la ville. Disparue... Un seul papier écrit de façon rapide sur la table indiquait alors sa première positions. " Je suis partie pour les terres du Sud des Royaumes de l'Est. Ne viens pas me chercher...".
La petite Elwena alors troublé est choquer se mis alors à imagniner un plan elle aussi mais, ceci est une autre histoire....
Chapitre premier: Le reflet d'une jeunesse.
Plus d'un an avait passé depuis la dernière fois qu'elle était venu dans les terres du sud des royaumes de l'est. Naolia avait gagné en maturité et en adresse. Ses origines l'avaient rejoins depuis un moment et elle avait commencé à comprendre les idéalogies et pratique de son père décédé. Le surnom de celui-ci laissait frissoner les nouveaux fermiers qui en avaient ouïe les épouvantables réçits. Le loup d'Hurlevent avait été une malédiction certaine pour Elwynn et la marche de l'ouest et la justice avait eu raison de lui. La lecture du journal de la mère de Naolia l'avait troublée à un haut degré. Elle avait fuit la civilisation et fait plusieurs rencontres pour en arriver à se faire à l'idée que sa jeunesse ne fut que mensonge et divergence.. Elle s'était resaisit grace à l'aide d'un homme de Lune-d'Argent qui avait su comprendre sa malédiction et à l'aider. Les circonstances troublantes des choses l'avaient poussée à rejoindre la terre d'Arugal. Arugal était par le passé un des membre du Kirin Tor de Dalaran. C’était un piètre lanceur de sorts, et il n’arrivait pas à la cheville des plus puissants membres du Kirin TorLorsque Dalaran fut détruite par le Fléau, Arugal était l'un des survivants qui se battaient toujours contre les morts-vivants et les démons. Mais chaque magicien mort dans la bataille se relevait, ajoutant son ancienne force au Fléau croissant. Arugal parvint à survivre mais fut rongé par la folie. Grâce aux écrits du livre d'Ur, et à des reliques magiques dont il se servait pour renforcer ses faibles pouvoirs, Arugal invoqua les Worgens et, selon les rumeurs, les traitaient aujourd’hui comme ses propres enfants et qu'il avait pris sa "retraite" à l’ancienne demeure du Baron d'Argelaine, renommée Donjon D'Ombrecroc. Il résidait toujours là, protégé par son animal de compagnie massif, Fenrus, et hanté par les fantômes vindicatifs du Baron d'Argelaine et de ses suivants. On disait également qu'il serait la cause de la malédiction qui s'était abattue sur Bois-du-bûcher, qui transformait les habitants en worgens une fois la nuit tombée. Naolia avait ouïe de ces dires et chassée par sa différance de certains lieux, elle quita les terres étrangères qu'étaient celles des bois-du-chant-éternelle pour se diriger vers la forêt des pins Argentés. Sur son chemin, elle tomba sur une fillette Sin'dorei qui semblait être égaré et confuse. Sentant une certaine envie de gouter la chaire fraîche de cette jeune elfe, elle voulu s'amuser quelque peu avec celle-ci.. commençant par un dialogue des plus sinistres. Mais, aux premières parôles de l'elfette, Naolia revit son enfance et son abandon dans les yeux perlés de larmes de la petite. Elle accepta, contre son gré, de prendre la petite avec elle, qui semblait épuisé et affollée d'être dans ce lieux maudit qu'était la clairière de Trisifal. La lycan amena la petite jusqu'à shattrat, le voyage fût des plus long et des moins évidents, mais ils y parvenurent.
Shattrat... Avant d'être dirigée par les Sha'tar, la ville fut la capitale des Draeneï, cependant, la Légion Ardente la détruisit. Les Sha'tar furent attirés par ces ruines et trouvèrent un petit groupe de Draeneï survivants qui continuaient a prier dans cette ville en ruine, ils n'étaient autre que les membres de l'Aldor. Ces derniers rebâtirent la ville qui fut à nouveau assaillie, cependant l'ennemi n'était pas le même. Illidan avait ordonné à son second, Kael'thas d'attaquer la ville, ce dernier envoya un de ses bataillon dirigé par Voren'thal. Quand le bataillon d'elfes de sang traversa le pont, les exarques et redresseurs de torts de l'Aldor prirent position pour défendre la Terrasse de la Lumière. C'est alors que l'inattendu arriva : les elfes de sang déposèrent leurs armes devant les défenseurs de la ville.Voren'thal demanda à parler à A'dal, « À l'approche du naaru, Voren'thal s'agenouilla devant lui et prononça ces paroles : « Je vous ai vu en rêve, naaru. L'unique espoir de survie de mon peuple est en vous. Mes fidèles et moi-même sommes venus pour vous servir ». La défection de Voren'thal et de ses fidèles fut la plus grande perte jamais subie par les forces de Kael'thas. Et il ne s'agissait pas là de n'importe quels elfes de sang. Nombre des plus brillants érudits et magistères de Kael'thas avaient suivis l'influence de Voren'thal. Les naaru accueillirent les renégats, qui prirent le nom de Clairvoyants. Cette citée abritait toute sorte de réfugié, qu'ils soyaient Orc, humain, sin'dorei, kal'dorei ou peut importe.. Les Sha'tars les acceptaient tous. Cette citée était d'avantage un sanctuère qu'une capitale. Naolia et la petite protégée mirent pied en ville. Peu après leur arrivé, Lyn ne tarda pas à tester les capacitée de la petite, qui ne lui était pas réellement chère à ses yeux, mise à part la faible pitié qu'elle éprouvait pour celle-ci. Une tâche des plus gênantes attendait la petite. Voler une bourse à un étranger dans une taverne bruyante et remplis d'îvrognes aggressif. Après de longues minutes, les attentes innattendues revinrent à l'hybride les mains remplis d'une bourse. Étonnée et surprise, Naolia entraina la petite hors de la portée de la taverne, prennant soin que la bourse ne soit pas dévoilée. Elle entraina la petite dans une salle où se trouvait plusieurs portails. Elle offrit le choix à la petite de retrouver sa vie normale à Lune-d'Argent en passant un premier portail ou de la suivre vers une vie d'aventure ou la survie va souvent à l'encontre de l'éthique habituelle. La petite, légèrement confuse, eu décidé de suivre cette Elfe. La petite Anatsuky ignorait le nom de cette dame qui l'avait receuillit, mais le destin semblait les avoir lié indirectement pour une raison que seules les étoiles pourront dévoiler aux dieux. D'une parôle timide et tremblante, elle eu acceptée de la suivre. Tout deux franchir une sphère bleuté qui les porta jusqu'à Orgrimmar. Une courte randonnée à travers les ruelles connus de la Lycan les menèrent à la sortie de la ville, d'où elles prirent un appareil aussi étrange qu'éfficace, qui les porta de Kalimdor jusqu'au Sud du continent de l'est lointain. De longues journées à survoler l'océan permirent à la fillette et à l'elfe de lié des liens. Elles arrivèrent par la suite à Grom'gol, un village d'Orc fièrement installé dans la jungle de Stanglehorn Vale. Ils avaient eu de difficiles épisodes, mais le campement avait su tenir solidement au travers des invasions de la légions de l'année dernière. À cet endroit, Naolia, quelque peu débousollée de l'humeur de la petite, entreprit une longue expédition de retour jusqu'à Lune-d'Argent, afin de quérir un être de fer qui s'était lié d'amitié avec la petite ou du moin, l'inverse! Les pavés propres et scintillant de cette cité, les remparts ornée, les longs tapis et tablar de la citée de Lune-d'Argent avaient toujours émerveillé Naolia, depuis la première fois qu'elle eu vu une telle beauté architecturale. Elle trouva l'être de fer à la fontaine, près de la fléche des solfuries. Sa quête lui avait semblé beaucoups plus compliqué, mais l'ironie de cette histoire tomba dans ses faveurs, sembla-t'il. L'individu de métal parru plus docile lorsque l'Elfe lui prononça le nom d'Anatsuky, ce qui lui rappela la petite elfette après un scan de ses données. Le voyage de retour ne fut pas des plus plaisants, dû à une température très variable et à de fort vent qui les avaient poussés à se rallonger quelque peu..
Chapitre second: L'éveil du Loup.
De retour sur la berge de Stranglehorn, une personne était des plus heureuse de revoir son copain robotique et sa nouvelle amie. Naolia apprit à la petite quelques frappes de précision et s'entrainant sur le gnome de métal, qui était de la même hauteur que la petite jusqu'à tard dans la même soirée. Épuisée, la petite eu vite fait d'abandonner après un très gros effort. C'est blotie dans les bras de Naolia qu'elle s'endormit, insouciante du lendemain, sombrant dans les chimères de la rêverie..
Connaissant la forêt dû à une longue période de sa jeunesse à avoir vécu dans celle-ci, Naolia connaissait bien cette partie du continent et se redirigea à une vitesse concidérable vers le nord. Quelques heures passèrent et Naolia arriva à la Pénombre, là où la nostagie de ses lectures éffaça son sourire habituel. Se mémorant les dires de sa mère sur ces lieux, sur le campement caché dans les montagnes de son père, sur ceux qui eurent tué son père et sur ce que son père fesait et pourquoi.. elle n'avait plus toute sa tête. Ses iris étroits et jaunâtre scintillaient dans l'obscurité de la forêt, lui rappelant, à chaque fois qu'elle voyait son reflet dans les petits trou d'eau sur le sol imbibés de la pluie précédante, sa malédiction.Enragé, elle s'enfonça dans les bois, retrouvant des habitudes animals qu'elle avait surtout lorsque la pleine lune se remplissait dangereusement, laissant la Lycan dans un état de furie lorsqu'elle était pleine. Une fermette attira dangereusement l'attention de l'elfe, cherchant à combler son désir rageux de souffrance. Quelques défias étaient regroupé à la fermette et deux ou trois sentinelles éparpillés surveillaient les champs. Profitant de son adresse bestiale et ses capacités à se morphondre dans l'ombre, l'Hybride eu vite fait de neutraliser l'une de ces sentinelles, mal entrainé, vu la réaction tardive de sa victime, à présent assomée. Subtilisant le corps de l'humaine, l'elfe fuit dans la noirceur de la forêt..
Les criquets et les grillons chantaient dans la sombre forêt de la pénombre. Une ombre se déplacait agilement d'arbre en arbre. Les chauves-souris voltigaient de part et d'autre dans l'obscure forêt. Les arbres à l'écorce des plus foncés laissaient un semblant d'hantise des plus effroyable à ce lieux terrifiant. Les fermettes abandonnés étaient à présent habité par des morts-vivants, des brigands n'ayant pas froid aux yeux ou par des worgens...Une race de féroces bêtes louves dont le seul nom suffit à provoquer des frissons. De nombreuses théories circulaient sur leur histoire, mais leurs origines restaient des plus mystèrieuse. Des rumeurs voulaient qu'ils ne soient qu'une apparition magique d'un autre univers.. d'autre d'une malédiction.. Quoi qu'il en soit.. Les veilleurs, eux, demeuraient sous un stress continue, tentant de conserver un minimum de calme dans cette région maudite et délaissée de sa mère capitale. Le nouveau régime n'aidait pas les villages des alentours d'une aide précieuse. Peu de gens savaient ce qui se passait au plus creux de l'obscurité de cette forêt...
Un cri perça le calme de cette forêt, laissant la chaire de poule aux veilleurs qui gardaient la route sans grand courrage..
La femme humaine qui venait de se réveiller, attachée à un arbre solidement au ventre, aux jambes et à la poitrine, frôlait la follie. Elle respirait terriblement vite et suait de peur. Une voix pénétrante la fit hurler de nouveau, cherchant d'où venait cette voix chantante des plus sinistres. Le scintillement d'une lame vint à attirer l'attention de l'humaine, paniquée. Une petite table faite de morceau de charette détruite se trouvait près d'elle. Sur celle-ci, l'humain pouvait y voir du sel dans un sac de blé, deux lames, des pinces et des fioles au contenu verdâtre et de couleur kaki. Les larmes lui montèrent aux yeux. Un tissu vint à lui caresser la joue. Au millieu de se tissu se trouvait une boule de chiffon qui s'insèra maladroitement dans la bouche de l'humaine et qui, par l'autre extrêmité, vint à se reserrer sur l'autre joue pour se nouer derrière sa tête. Les yeux ronds et intérogateur, elle vu une silouhette sombre dans l'ombre du petit campement sans éclairage, si ce n'était que celui de la lune, à quelques jours d'être pleine. L'ombre souleva l'une des lames, prononçant des parôles qui était ignoré par la peur de l'humaine. Naolia fredonna un chant Kal'dorei qu'elle entendait souvent à Reflet-de-lune dans sa jeunesse, alors qu'elle approchait la lame vers le bras de l'humaine. D'un mouvement lent et précis, elle scia le bras de l'humaine au niveau du biceps, laissant le hurlement muet de la femme étouffer son chant. Les tendons déchirant, le muscle cèdant et le sang coulant sur la lame rendaient l'elfe quelque peu affollée elle-même, qui augmentait le rythme de son sciage. Une fois le membre coupé et l'humaine agonisante d'une douleur infâme, près de l'évanouïssement, Naolia prit le sac de sel et versa de son contenu dans un morceau de tissu. Elle prit ce morceau et le colla directement à la plaie, de sorte à ce que le sel stop l'hémoragie pour que l'humaine ne meurt par la perte de son sang. Un hurlement, étrangement plus claire que le précédant, laissa Naolia sourire, intriguée par la douleur que celà devait procurer à l'humaine. La forêt assourdissait suffisament le bruit des hurlements de la femme et l'odeur du sang attirait quelques bêtes curieuses. Naolia prépara un feu, qu'elle alluma pour conserver les bêtes curieuses à l'écart du petit cercle dans la forêt. Bien isolé entre des arbres, Naolia fit cuir le bras de l'humaine, sous le regard dégouté de celle-ci, sanglôtante de toutes ses larmes.. Naolia, après une cuissons adécouate, dévora une partie du bras, déchiquetant la chaire de ses canines prononcés et tordait le bras, pour y faire sortir le sang, qu'elle fesait couler dans un gobelet. Naolia trancha des lambeaux sur le bras et les déposa sur la table, laissant le bras dénudé de chaire et de muscles. L'humaine regardait la scène, tromatisée de ce qu'elle voyait..
L'elfe se releva, s'approchant de l'humaine et lui murmurant les pires douleurs si elle se metait à hurler à nouveau, jurant à l'humaine qu'elle lui réservait des douleurs infâme qu'elle ferait durer le plus longtemps possible, si elle hurlait. Elle prit l'une des fioles qu'elle possèdait et la versa dans le gobelet de sang. Il s'agit d'un poison anestésiant, pour endormir la femme de façon contrôlé. Elle s'approcha de la femme, lui retirant le morceau de tissu qui l'empêchait de parler et la forca à boire son sang mélangé au poison. L'humaine ne se rabaissa pas à en boire le contenu qu'elle cracha sur l'elfe. Impatiente, l'elfe découpa la chemise de la femme au niveau du torse. La femme pleurait, voulant le pardon. L'elfe enfonça le bout de sa lame dans le nombril de la femme, cherchant à trancher le cordon obélicale de la femme et enfoncer de la sorte sa lame sous la chaire, sans déchirer les intestins. La femme hurla, mais l'elfe couvrit la bouche de l'humaine. Après des menaces d'évolution de cette douleur, l'humaine accepta de boire son sang et le poison. La plaie saignait et Naolia dû, après avoir fait boire le tout à l'humaine et lui remettre le morceau de tissu dans la bouge, cicatriser au sel la nouvelle plaie de la femme qui avait perdu beaucoup de sang, à présent. Naolia laissa l'humaine sombrer dans l'inconscience.. reprenant ses affaires et disposant vers la rivière séparant la Pénombre d'Elwynn..
Prologue du chapitre 3:
Une longue absence laissa l'humaine à elle-même, réfléchissant à des méthodes pour s'enfuire. Ses années d'expérience en fourberie l'avait rendu des plus ingénieuses. Elle grattait la corde avec ses ongles lentement, mais surement. Les liens commencèrent à s'affaisser, lorsque des hurlements se firent entendre tout près. Naolia avait omnis de rependre du poison aux alentours pour masquer l'odeur du sang et du corps de la femme. Deux noires silhouettes surgirent des bois, grognant, cherchant à savoir laquelle des deux allaient dévorer la femme. Les yeux rougeâtres des deux loups noirs fessaient hurler muetement la femme qui avait toujours le tissu dans sa bouche. L'une des deux bêtes saisit l'humaine au tibia, la secouant violement. L'autre sauta au niveau du ventre. Elle arracha la peau externe du ventre et une partie du chemisier. Les intestins de la femme s'écroulèrent sous son regard perlé de larme. La douleur la fesait hurler de douleur, lorsque ses cris s'évanouir en même temps que les derniers battement de son coeur. Les deux loups dévorèrent les intestins de la femme et, sous des bruits de pas tout près de là, fuirent aussi rapidement qu'ils étaient arrivé..
Chapitre 3: L'elfe qui murmure à l'oreille des chats.
La marche de l'ouest.. Des anciens vergers verdoyants du royaume de Hurlevent, qui sont aujourd'hui à l'abandon... La Marche de l'Ouest n'était plus aujourd'hui qu'un vaste désert regroupant les vestiges de communautés fermières abandonnées aux brigands et bandits de grands chemins. Les terres n'étaient même plus défendues par les Garnisons de Hurlevent, qui ont déserté lorsque l'entretien des terres était devenu trop lourd, et la contrée a été détruite par la Confrérie Defias, et sa horde de bandits demi-humains tels que les gnolls et les gobelins. Aujourd'hui, les terres étaient occupées par la confrérie et leurs Golems Moissonneurs protecteurs. Personne ne savait ce qu'ils cachaient au plus profond de ce royaume, mais ils ne reculaient devant aucun stratagème pour dissuader les explorateurs aventureux de s'en approcher. Cette région se remettait de certains cris de rage et de haine au Sud, lorsque la jeune Lycanthrope quittait cette région pour traverser sa terre mère qu'était Stranglehorn. Cette elfe élevée par sa demi-famille, les Kal'dorei, s'était accoutumée solidement à Stranglehorn lorsqu'elle eu fuit Reflet-de-lune lors de sa jeunesse. Bondissant d'arbre en arbe avec une agilitée animale, elle traversait la jungle avec facilité. De longues heures à dévaler la forêt, en évitant d'attaquer la faune et les sauvages qui peuplaient la forêt pour ne pas s'attirer d'attention, elle parvint à joindre Grom'gol, là où l'attendait une elfe particulière pour elle. Franchissant les palissades du campement, les gardes reconnaissaient l'elfe qui était de plus-en-plus souvent présente dans cette partie de la forêt. Le ciel lourdement couvert laissa couler une pluie torride sur la région. Allant se couvrir, Naolia retrouva la petite Anatsuky, à qui elle commençait sérieusement à porter attention. Sentant la pleine lune s'approcher, elle se sentait des plus rageuse et à bout de nerf. La petite se tenait devant l'hybride, les mains dans le dos, la tête baissée. Elle parlait d'un air louche à Naolia qui s'inquiétait de plus-en-plus. La petite Sin'dorei dit à Naolia qu'un gobelin l'avait attaqué et blessé. Une sensation de rage, de violence, de haine et de culpabilité envahie la Lycanthrope qui semblait perdre la raison à fur et à mesure que la petite dévoilait les évènements. Elle poussa la petite à lui dévoiler de qui il s'agissait. Les informations de la petite mena l'elfe et la petite à partir en direction de Durotar pour chercher où était ce Gobelin. Un long voyage dérangea l'elfe de plus en plus qu'elles s'approchaient de Durotar. Après des évènements et des questionnements nécessitant précision qui mena Naolia à découvrir que la petite lui avait menti, la Lycanthrope devint immorale. Elle se contrôla du plus fort qu'elle le pu et eu une idée des plus sadique pour faire comprendre à la petite que lui mentir était une grave erreur. Partie à Orgrimmar, elles passèrent par l'orphelinat de la citée chercher les affaires que la petite avait dû laissé lorsqu'elle partie de labà. Le but de ce petit détour était de reprendre le chaton de la petite. Une longue marche dans la citée orque les mena à l'extérieur de la citée, dans une maisonnette abandonnée. Naolia attacha la petite à la cheville et le chaton au cou. Les liens fixés à l'un des pilliers de la maisonnette permis à Naolia de dévoiler le sadisme de sa pensée à la petite. Anatsuky s'était écorchée les avant bras, laissant des griffures et des morceaux de peau retrousser de peu, alors Naolia lui ordonna de trancher chacune des pattes de son chaton adoré. La petite paniqua, jurant, pleurant, chialant.. Naolia gifla celle-ci, ramenant le minimum de lucidité à la petite. Naolia saisit le chat et pointa sa dague au niveau du ventre de celui-ci. La petite s'excusa à mile reprise d'avoir mentie. Naolia monta la dague vis-à-vis la gorge du chaton. La petite pleurait, se cachant les yeux pour ne pas regarder cette scène. La petite dévoila toute l'histoire sans mensonge, mais Naolia tenait le chat, encore rageuse. Un bruit de tranchant fit hurler la petite qui se cachait les yeux. Le chat tomba au sol, laissant la petite pleurer terriblement. Celle-ci ouvrit les yeux au contact du chaton qui se frottait à elle, effrayé de Naolia. La demi-elfe lâcha la corde qui conservait le chat captif et se contenta de fixer la petite pleurer, terrorisée et traumatisée de cette scènette. Naolia trancha les liens de la petite et sortie hors de la fermette, fixant les étoiles, se perdant quelque peu dans les souvenirs de son passé, de ses lectures, de sa jeunesse et de sa sœur. Considéré comme l’unique survivante de sa famille.