Je m'appelle Lurios, Lurios Von Harkmer. Oui, je suis un mage, oui, je sais invoquer des sorts, mais non, je ne suis pas très fort. Je vais vous conter mon histoire, et je vous prierais de ne pas vous moquer de moi.
Tout à commencé il y a quelques vingt-quatre années, en Dun Morogh. Je suis né dans un petit village dont la plus grande partie de la population était Gnome. A l'école, j'étais un blagueur, ce qui m'a valu la peine d'en être exclu. Je me suis donc décidé à travailler seul, comme je le pouvais. J'ai d'abord tenté de travailler au village, aux champs, mais cette façon de vivre ne m'a pas plu. Pas du tout. Je me suis donc décidé à quitter le village. Au début, j'étais heureux, avide de nouvelles aventures, mais le jour venu je me suis ravisé, et j'ai patienté. Patienté encore et encore. Finalement je suis resté plusieurs années chez moi à ruminer les erreurs de ma jeunesse. Après cela, approchant les vingt ans, je suis enfin parti. Je me suis d'abord dirigé vers Forgefer, pensant qu'il y aurait des gens pouvant m'instruire là-bas. Je m'y suis établi, avec l'aide d'anciens amis qui avaient poursuivi leurs études jusqu'à parvenir ici. J'ai trouvé des écoles, j'ai étudié, et les professeurs m'ont conseillé de devenir mage, une formation qui me conviendrait selon eux.
J'avais tous justes vingt-quatre ans, et je me dirigeais vers le Nord. On m'avait indiqué ainsi la direction de Dalaran, une soi-disant cité de mages. Je n'en savais guère plus que ce qu'on me disait, étant donné que je n'avais jamais étudié la géographie d'Azeroth. Étant donné que depuis Forgefer aucun chemin ne menait au Nord, je me suis dirigé vers la sortie Ouest, vers le Loch Modan. Sur le chemin, j'ai croisé une troupe de Nains me disant de ne pas m'approcher de la région, car le "Fléau" occupait la zone. Ils m'ont proposé à la place de me faire voyager en Griffon jusqu'à Menethil, le tout sous réserve de quelques pièces d'or. Enervé, je sortis ma bourse et lançais quatre piécettes dorées. Les Nains, heureux, me conduisirent près de leur Griffon qui me transporta durant au moins sept heures. Arrivé à Menethil, je rentrais dans l'auberge quand une tempête éclatât. Je courus à l'intérieur et m'adressait à l'aubergiste afin de prendre une chambre, mais toutes celles-ci étaient prises, et je dus dormir à l'extérieur, entre deux maisons.
Le lendemain je pris la route afin de partir vers le Nord. La suivant durant quelques heures, je me retrouvais à un croisement. L'une des deux routes conduisait vers l'Est tandis que l'autre filait vers le Nord. Par pure raison de réflexion, je pris le chemin du Nord, et arrivais bientôt à une petite ville emplie de Nains à la peau sombre. La nuit tombant, je me dirigeais vers l'entrée afin d'y trouver refuge. Malheureusement, les Nains ne parurent pas aussi accueillant que ceux de Forgefer. Je courus vers le Nord et parvins à un Viaduc. Me retournant, je constatais que les Nains ne me suivaient plus. Je me couchais là et passais une nuit terrifiante, emplie des bruits nocturnes. Au petit matin, je me levais dans la précipitation en remarquant le Raptor dont la tête était baissée sur moi. Quand la matinée tirait à sa fin, j'étais rendu dans un gouffre abritant un poste avancé de l'Alliance. J'y mangeais un bon repas à base de carottes et repartit, suite à la blague sur la nourriture que l'aubergiste n'avait guère amusée, et je fus donc chassé. Le soir tombait et au loin se dessinait une pâle ligne. Dans la nuit je m'y adossais, éprouvé par mon voyage. C’était en fait un mur immense, dont une fissure m'abrita pour la nuit. Le lendemain je continuais ma route jusqu'à la lointaine Austrivage, que j'atteins le soir tombant. Ce chemin-ci ne fut aucunement mouvementé. Je dormis ici, et, le lendemain, fut pris par le départ de la communauté. Surpris, je les suivis, et sur le chemin un mage m'instruit des bases de la magie. Je maitrisais alors quelques sorts élémentaires, mais je n'en appris pas plus pour ce jour-ci. Le lendemain matin, à l'aube, nous étions au Bois-du-Bûcher. Je restais ici quelques jours à m'entrainer et décidais de partir chercher de l'éducation au Moulin-de-l'Ambre. Arrivé là bas, dans l'après midi, une mage m'appris les rudiments de quelques autres sorts qui m'aideront beaucoup selon elle.
Quand je partais du Moulin-de-l’Ambre, je partais vers Austrivage, pour prendre un bateau et partir dans le Norfendre. J’étais au milieu du chemin quand un mage, à cheval avec un écuyer m’interpelle et :
Il me dit : ‘’Petit gnome ! Que fais-tu seul à cette heure-ci ? Ce chemin est dangereux. ‘’
Je dis : ‘’ Ne vous inquiétez pas ! Je suis un jeune apprenti mage, rien ne me fait peur ici ! ‘’
Il me répond : Mage ? Je suis le mage Karor, mage du Kirin’tor.
Je dis : Je me rends à Dalaran ! Ville du Kirin’tor d’après un mage de la région.
Mage : Viens avec moi donc, tu seras mieux sur ce cheval.
Lurios : Oui ! Merci !
*Lurios saute sur le cheval*
Mage : De rien petit, pourquoi te rends-tu à Dalaran ? Tu cherches école ?
Lurios : Oui ! J’aimerais bien devenir mage, d’arcanes !
Mage : Bien, nous allons partir au prochain bateau, aller ! Yaa !
*Le mage tire sur les rennes du cheval qui était d’une splendeur éclatante*
*Des jours se passent quand le bateau arrive au Donjon de la Bravoure en Norfendre, là bas, ils prennent un autre cheval pour Lurios et se mettent à galoper dans les plaines de la toundra boréenne *
Mage : Petit ! Nous arrivons à la tour ! Agrippe-toi ! On va pousser un coup ! Haha !
Lurios : Ou-oui !
*Les deux hommes arrivent à une des tours du Kirin’Tor postée à la Toundra*
Mage : Petit, cherches-tu un maître mage par hasard ?
Lurios : Ou-oui ! Je n’ai personne ici !
Mage : Donc, veux-tu être mon apprenti ? Je suis un bon mage.
Lurios : Sans refus !
*Depuis ce jour, Lurios et le mage s’entraînent dans cette tour et ses alentours, Lurios est devenu un assez bon mage Arcaniste et est aller dans la prestigieuse école de magie de Dalaran et en est sorti avec un diplôme*
Tout à commencé il y a quelques vingt-quatre années, en Dun Morogh. Je suis né dans un petit village dont la plus grande partie de la population était Gnome. A l'école, j'étais un blagueur, ce qui m'a valu la peine d'en être exclu. Je me suis donc décidé à travailler seul, comme je le pouvais. J'ai d'abord tenté de travailler au village, aux champs, mais cette façon de vivre ne m'a pas plu. Pas du tout. Je me suis donc décidé à quitter le village. Au début, j'étais heureux, avide de nouvelles aventures, mais le jour venu je me suis ravisé, et j'ai patienté. Patienté encore et encore. Finalement je suis resté plusieurs années chez moi à ruminer les erreurs de ma jeunesse. Après cela, approchant les vingt ans, je suis enfin parti. Je me suis d'abord dirigé vers Forgefer, pensant qu'il y aurait des gens pouvant m'instruire là-bas. Je m'y suis établi, avec l'aide d'anciens amis qui avaient poursuivi leurs études jusqu'à parvenir ici. J'ai trouvé des écoles, j'ai étudié, et les professeurs m'ont conseillé de devenir mage, une formation qui me conviendrait selon eux.
J'avais tous justes vingt-quatre ans, et je me dirigeais vers le Nord. On m'avait indiqué ainsi la direction de Dalaran, une soi-disant cité de mages. Je n'en savais guère plus que ce qu'on me disait, étant donné que je n'avais jamais étudié la géographie d'Azeroth. Étant donné que depuis Forgefer aucun chemin ne menait au Nord, je me suis dirigé vers la sortie Ouest, vers le Loch Modan. Sur le chemin, j'ai croisé une troupe de Nains me disant de ne pas m'approcher de la région, car le "Fléau" occupait la zone. Ils m'ont proposé à la place de me faire voyager en Griffon jusqu'à Menethil, le tout sous réserve de quelques pièces d'or. Enervé, je sortis ma bourse et lançais quatre piécettes dorées. Les Nains, heureux, me conduisirent près de leur Griffon qui me transporta durant au moins sept heures. Arrivé à Menethil, je rentrais dans l'auberge quand une tempête éclatât. Je courus à l'intérieur et m'adressait à l'aubergiste afin de prendre une chambre, mais toutes celles-ci étaient prises, et je dus dormir à l'extérieur, entre deux maisons.
Le lendemain je pris la route afin de partir vers le Nord. La suivant durant quelques heures, je me retrouvais à un croisement. L'une des deux routes conduisait vers l'Est tandis que l'autre filait vers le Nord. Par pure raison de réflexion, je pris le chemin du Nord, et arrivais bientôt à une petite ville emplie de Nains à la peau sombre. La nuit tombant, je me dirigeais vers l'entrée afin d'y trouver refuge. Malheureusement, les Nains ne parurent pas aussi accueillant que ceux de Forgefer. Je courus vers le Nord et parvins à un Viaduc. Me retournant, je constatais que les Nains ne me suivaient plus. Je me couchais là et passais une nuit terrifiante, emplie des bruits nocturnes. Au petit matin, je me levais dans la précipitation en remarquant le Raptor dont la tête était baissée sur moi. Quand la matinée tirait à sa fin, j'étais rendu dans un gouffre abritant un poste avancé de l'Alliance. J'y mangeais un bon repas à base de carottes et repartit, suite à la blague sur la nourriture que l'aubergiste n'avait guère amusée, et je fus donc chassé. Le soir tombait et au loin se dessinait une pâle ligne. Dans la nuit je m'y adossais, éprouvé par mon voyage. C’était en fait un mur immense, dont une fissure m'abrita pour la nuit. Le lendemain je continuais ma route jusqu'à la lointaine Austrivage, que j'atteins le soir tombant. Ce chemin-ci ne fut aucunement mouvementé. Je dormis ici, et, le lendemain, fut pris par le départ de la communauté. Surpris, je les suivis, et sur le chemin un mage m'instruit des bases de la magie. Je maitrisais alors quelques sorts élémentaires, mais je n'en appris pas plus pour ce jour-ci. Le lendemain matin, à l'aube, nous étions au Bois-du-Bûcher. Je restais ici quelques jours à m'entrainer et décidais de partir chercher de l'éducation au Moulin-de-l'Ambre. Arrivé là bas, dans l'après midi, une mage m'appris les rudiments de quelques autres sorts qui m'aideront beaucoup selon elle.
Quand je partais du Moulin-de-l’Ambre, je partais vers Austrivage, pour prendre un bateau et partir dans le Norfendre. J’étais au milieu du chemin quand un mage, à cheval avec un écuyer m’interpelle et :
Il me dit : ‘’Petit gnome ! Que fais-tu seul à cette heure-ci ? Ce chemin est dangereux. ‘’
Je dis : ‘’ Ne vous inquiétez pas ! Je suis un jeune apprenti mage, rien ne me fait peur ici ! ‘’
Il me répond : Mage ? Je suis le mage Karor, mage du Kirin’tor.
Je dis : Je me rends à Dalaran ! Ville du Kirin’tor d’après un mage de la région.
Mage : Viens avec moi donc, tu seras mieux sur ce cheval.
Lurios : Oui ! Merci !
*Lurios saute sur le cheval*
Mage : De rien petit, pourquoi te rends-tu à Dalaran ? Tu cherches école ?
Lurios : Oui ! J’aimerais bien devenir mage, d’arcanes !
Mage : Bien, nous allons partir au prochain bateau, aller ! Yaa !
*Le mage tire sur les rennes du cheval qui était d’une splendeur éclatante*
*Des jours se passent quand le bateau arrive au Donjon de la Bravoure en Norfendre, là bas, ils prennent un autre cheval pour Lurios et se mettent à galoper dans les plaines de la toundra boréenne *
Mage : Petit ! Nous arrivons à la tour ! Agrippe-toi ! On va pousser un coup ! Haha !
Lurios : Ou-oui !
*Les deux hommes arrivent à une des tours du Kirin’Tor postée à la Toundra*
Mage : Petit, cherches-tu un maître mage par hasard ?
Lurios : Ou-oui ! Je n’ai personne ici !
Mage : Donc, veux-tu être mon apprenti ? Je suis un bon mage.
Lurios : Sans refus !
*Depuis ce jour, Lurios et le mage s’entraînent dans cette tour et ses alentours, Lurios est devenu un assez bon mage Arcaniste et est aller dans la prestigieuse école de magie de Dalaran et en est sorti avec un diplôme*
Dernière édition par zelphory le Sam 30 Oct - 17:46, édité 1 fois