Réveille toi mon enfant.. Ton initiation s’achève à présent.. La puissance du seigneur coule en toi, tel ton sang corrompu.. le déroulement de ton initiation, le parcours du « héros », le passage d'un état à un autre, le plus fréquemment à travers des épreuves qui ont pour but la transformation intime de la personnalité, l'évolution de l'être… ont eu pour but de te façonner… Rare sont les élus qui côtoient ma puissance… Rare sont ceux qui contemplent ma démence… Rare sont ceux qui survivent à mon enseignement… J’ai su poser les yeux sur toi, alors que tu n’étais qu’une misérable mortelle… J’ai dessiné ton avenir à travers ta volonté… du jour où tu as été possédé de mon courroux à aujourd’hui, c’était moi. Je suis la cause du réveil de ta puissance, tu te souviens? Cette transe à travers ta haine... ton effrois... face à tes sentiments..?
La voix poussa un rire saccadé et diabolique. Celui-ci poursuivit :
Tu as suivi cette voix sans la combattre, j’ai lu en toi une capacité à ne pas négliger… Tu as crée une secte d’esclave à ta volonté et a contrôlé leur sentiment et leur esprit comme bon te le semblait… sans mon intervention… spectateur de ton déclin vers le fléau, je t’ai regardé assombrir le cœur des hommes. Tu as brûlé la cité de ta mère patrie sans mon aide… et t’en es sortie en un rien… rependant le chaos dans le cœur de tes frères et sœurs... Tu as renié ta famille… tué ta propre mère et ta sœur, Ildamia, aux steppes ardentes… ses lamentable crie de pitié… de terreur… et de tristesse… Tu as su la faire taire à jamais, décapitant, brûlant et mutilant son corps tel la démence elle-même… Tu as mise à feu une ville humaine… réduit en cendre les rêves et la vie des vivants… Ils ont fuit et craint ton courroux… Sans savoir qui tu étais… La horde a brûlé sous ta volonté… les faisant maudire l’alliance par la confusion que tu as su semer… Tu as corrompu de nombreuses âmes… même celle des enfants de la lumières, les draenei… Ta haine t’as mené à moi… et à présent, regarde toi… mon enfant… Tu es à présent nécromente du fléau… L’image même de la puissance du fléau, la terreur de ton courroux, la puissance de la volonté du Roi Liche… Ton rôle à jouer sera à présent vu des yeux de ton maître… Il portera lui-même une attention à ton destin... rend toi digne d’être d’une telle position… Ne laisse aucun vivant crier de joix… Ne permet pas l’amour de s’élever… Eteint la lumière de ce monde… Dirige ce monde vers les abysses… et corrompt le au nom du seigneur noir, Arthas… Je t’ai voué d’une puissance digne de ton rang… à présent… sème la destruction, la peur et la mort sous chacun de tes pas… va chevalier de la mort… accomplie ce donc pourquoi je t’ai créé…
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Le néant… ce fut la seul chose qui recouvrait l’être qui se tint debout au centre d’une vaste salle. L’écho de sa respiration tremblante résonnait à travers la pièce, transperçant la silhouette qui se tenait solidement. L’être ouvrit lentement les yeux, chassant le néant d’une faible lueur bleutée qui envahit les froids pavés qui recouvraient le sol. Il leva sa lame étrangement gravée de rune et la tint devant lui…
…Un nouveau pouvoir est tient… laisse la haine nourrir ta puissance…
Une lueur verdâtre envahit la lame, dévoilant les caveaux de la crypte et la noire porte détériorée qui le mènerait à la sortie de ce donjon… Le sombre être déposa sa lame fumante de rage et de la force impie qui envahissait l’ombre qui se tenait fièrement. Le visage noircit de l’être se dévoila à la lumière verdâtre de la lame qui enfumait la pièce d’une force étrange. Aucune expression… un sombre murmure chantait la démence :
Les rois chantant…
Les chiens dormant…
Les maisons dansantes s’enfumeront…
La brume des champs, lèverons.
L’ombre prit la clairière..
Au-delà les cimetières..
Là où fumes les maisons..
La mort nous apporterons..
L’ombre prit la mer..
Au-delà les neuf terres..
Ensanglant le rivage..
Châtiant les mirages..
Ainsi nous marcherons…
Ainsi marcheront…
Ainsi nous marcherons et la mort, porterons…
La voix cessa, déposant lentement la noire pointe de lame runique sur le sol. Au contact, un halo verdâtre envahit la pièce en un éclair et disparu aussitôt, plongeant la salle dans l’obscurité totale… Les deux porteuses de lumière bleutée se rouvrirent lentement. Un faible sourire se dévoila sur le visage noir de l’être. Un pas alourdit par son armure se fut entendre… Les plaques cliquetantes sur la maille, sa noire cape balayant le sol, le porteur de la lame s’avança de quelques pas, tout aussi bruyant que le premier. L’écho de ses pas se fut entendre par multiple reprise au loin. La lame runique, tenue en main droite, se remise à briller d’un éclat verdâtre… Elle éclaira faiblement la pièce qui était à présent habitée de plusieurs petites lueurs vertes. L’être s’avança dans la crypte suivit des lueurs vertes. La crypte semblait être familière à l’être qui, pourtant, n’y avait jamais mit les pieds au par avant. Les froides pierres du tombeau devinrent de plus en plus éclairé par les lumières verdâtres, dévoilant de très peu des silhouettes ombreuses. Les pavés du sol reflétaient la lumière de la froide lune sur les plaques noires de l’être. Des créatures se dévoilèrent à la suite du chevalier de la mort… des abominations squelettiques, des créatures de chaire morte et autre immondes être se tenaient derrière le sombre personnage. Tous avaient les yeux verdâtres de la rage runique qui les animait. Le sombre chevalier regarda les vastes terres devant lui, des plaines gelées… la désolation, la mort, la haine envahissait et nourrissait ces terres… Ses immondices prenant la marche en direction du désert enneigé laissaient une mince trace qui s’effaçait par le blizzard des lieux. Le chevalier de la mort avançait lentement, derrière ses minions. Ils dévalèrent les dunes glacées, ne ressentant ni le souffle du vent, ni la froideur des lieux. La colère guidaient chacun de leurs pas. Le chevalier noir fixait les créatures de la marche et se souvint…
Citation :
Alors misérable être! Vous allez servir votre maître! Il requière d’avoir les plus forts d’entre-vous, bande de charognard! Vous allez vous battre à mort! En ligne, vermine! Vous deux… Oui, toi et l’elfe! Dans le cercle, immédiatement..!
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Ahahaha, maintenant, fais le souffrir, arrache lui un œil… et arrache lui le crâne par le trou de son œil… MAINTENANT!
Citation :
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À présent… tu vas me décapiter ce prisonnier! Tue le… Allez Elfe… achève sa misérable vie… Il n’est pas digne de servir le Roi Liche, tue moi cet humain!
-Non! Pitié! J’ai une femme et des enfants, ne… ne m’affranchissez pas!
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Ahahahah, parfait! Tu lui auras arraché ce qui l’aura rendu faible… Le cœur… La vie… à présent retournez à vos quartier vous tous…et débarrassez-vous des restes vous autres!
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Le vent soufflait à travers la plaine, la marche avançait lentement à travers les mirages du blizzard. Une lumière se fit voir au loin, trahissant la position d’un campement d’aventuriers. L’assemblée de mort-vivant accourue sur le campement d’humain non loin. L’elfe noir marchait toujours, maintenant en direction du camp, la lame à la main. Les crient de peur, de rage et de douleur se faisaient entendre. Le chevalier de la mort arriva, marchant dans l’épaisse neige, et de plusieurs gestes barbares et violant décapita le premier homme qui croisa son chemin. Sa rapidité et sa violence affolèrent les autres humains. Un second se mit à genoux devant le chevalier et lui implora la vie, pleurant et jurant des idioties et son âme…….
Citation :
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Pourquoi! Pourquoi Ezashiel! Je suis ta sœur, ton sang… Qu’es-tu devenue! ARGHHhh.. Espèce de monstre!!! Mon bras !!! Arrghhhh! Mais ques que tu veux! Ques que je t’ai fait!!!... Non, no…. Nonnnnnn!! Arggghhhhh mo…mon… tu n’es pas…. Ma… soeu…..rrrr………ARGHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH…
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L’elfe noir fendit le crâne de l’homme en deux, laissant la cervelle de l’homme s’écouler sur le sol et se dirigea vers un second qui se battaient contre l’un des squelettes. Il le transperça jusqu’au manche de sa lame, l’apportant le plus près du son visage pour sentir sa peur. Le sombre chevalier le fixa de ses yeux bleuâtre, l’homme le regardait apeuré et envahit d’une profonde douleur. Il poussa des gémissements en fixant les yeux maudits de la femme.
Citation :
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Qu…ques que vous faites !!! … Ques que signifie tout cela !? Pourquoi mettez-vous le feu à la ville!!! Traitresse !!! Aidez donc à tuer le phoenix, IDIOTE !!! Vous n’êtes qu’un monstre !! Arrgh !.... À l’Aide !!! Elle brûle la cité !!! À l’aide !!!...
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Le sombre être ressortit sa lame du corps de l’homme violemment et le trancha en deux au niveau de la taille. Les entrailles de l’homme se répandaient sur le sol sous le dernier regard confus et endolori qu’il eut. Un dernier survivant se tenait au sol, désarmé, suppliant le sombre personnage qui se tenait devant lui, recouvert de sang et de neige ensanglanté, de lui accorder la vie.
Citation :
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ARGHH….. Ez..Ezashiel… pourquoi fais-tu cela… Ques que … cette créature… Que.. Ma fille, pourquoi as-tu fais cela…. Qu’es-tu? N’as-tu pas de… valeur, ma fille… Je… suis ta mère… Je…tu es mon sang, Ezy… Qu’aurait dit ton père s’il te argh…. Voyait… il.. je t’ai toujo… Je t’ai toujours…arghh… je t’aimARRRGHHHHHHH………………
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Elle enfonça sa lame directement dans le visage de l’homme et pénétra celle-ci jusque dans la glace derrière le défunt. La sombre chevalière regarda les nombreux cadavres devant elle… Aucun sentiment ne s’exprimait sur son visage… à peine la satisfaction. Tuer de pitoyables voyageurs ne lui faisait ressentir aucune satisfaction… Sa valeur vaut mieux que de simples brigands… Le blizzard soulevait la neige ensanglantée autour d’elle.
Citation :
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Je suis Ezashiel Keledan… nécromante du fléau, misérable… Qui es-tu pour te présenter face à moi, vermine…?
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Mon enfant, je t’ai donné la chance d’accéder à une nouvelle vie… Ezashiel… l’elfe faible que tu étais n’es plus… Te voilà à présent ; Kel’shaed, diciple de Kel’thuzad et serviteur du Roi Liche…
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Sous le regard des créatures autour d’elle, Kel’shaed pointa sa lame en direction du sol devant elle… Une lueur verdâtre envahit la lame.. la sombre démente déposa sa lame fumante de rage et de la force impie qui enveloppait le champs de bataille d’un verte lumière autour de la femme maudite qui se tenait fièrement. Le visage noircit de l’être se dévoila d’avantage à la lumière verdâtre de la lame qui enfumait les lieu, à présent, d’un force étrange. Aucune expression… une simple voix chantait la démence :
Les rois chantant…
Les chiens dormant…
Les maisons dansantes s’enfumeront…
La brume des champs, lèveront.
L’ombre prit la clairière..
Au-delà les cimetières..
Là où fumes les maisons..
La mort nous apporterons..
L’ombre prit la mer..
Au-delà les neuf terres..
Ensanglant le rivage..
Châtiant tous les mirages..
Ainsi nous marcherons…
Ainsi marcheront…
Ainsi nous marcherons et la mort, porterons…………………..